De nombreux travaux de recherche ont permis d’améliorer nos connaissances sur les émissions en composés volatils et en particules ainsi que les risques sanitaires associés à l’utilisation de désodorisants combustibles (encens, bougies parfumées) [projet EBENE] et de désodorisants non combustibles, comme les diffuseurs de parfums et d’huiles essentielles actifs ou passifs [projet PRESSENS].

Ces études ont été menées en conditions maîtrisées en laboratoire puis en conditions réalistes lors d’une campagne de mesures dans la maison expérimentale MARIA du CSTB. Elles soulignent l’importance de réduire les expositions chroniques les plus fortes (acroléine, benzène, limonène) et les expositions aigües à l’acroléine, au formaldéhyde et aux particules fines.

Les émissions liées à la diffusion d’huiles essentielles sont susceptibles de donner lieu à la formation en milieu oxydant de sous-produits gazeux oxygénés (formaldéhyde, acétone) mesurés en micro-chambres d’émission, enceinte de 1 m3 et pièce expérimentale IRINA de 40 m3 [projet ESSENTIEL].

Ces résultats seront confrontés aux constats des médecins allergologues chez des patients qui utilisent ces parfums d’intérieur.

A cette occasion, nous aurons le plaisir d’accueillir, au côté du Dr Fabien SQUINAZI, Président du collège SEIQA :

• Mélanie NICOLAS, Chercheuse, Responsable du laboratoire de mesures des polluants à l’émission, Direction santé confort, Centre scientifique et technique du Bâtiment
• Frédéric THÉVENET, Enseignant-Chercheur, Professeur, IMT Lille Nord Europe
• Docteur Jean-Charles BONNEAU, Médecin allergologue, Angers
• Docteur Eric THOMAS, Médecin allergologue, Chaumont

Nous espérons vous voir nombreux à cet évènement et n’hésitez à le diffuser autour de vous.

#Webinaire